Ségolène Royal s’est rendue en chine du 6 au 9 janvier pour « comprendre ce qui se passe et tisser des liens avec les responsables chinois ».
En évoquant le développement économique et les délocalisations, elle a fustigé l’attitude des entreprises françaises qui consiste « à penser que c’est toujours la faute des autres ».
« Le monde a besoin du développement de la Chine », qui est « notre nouvelle frontière », a-t-elle répété, en invitant la France à « anticiper » par l’investissement dans des secteurs innovants pour compenser les délocalisations.
Elle a ajouté attendre «des entreprises qu’elles fassent une évaluation, qu’elles regardent les raisons économiques et comportementales » de leur échec.
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