A quelques semaines de la mise en libre-service de certains médicaments dans les grandes surfaces, les pharmaciens, qui défendent leur “mission première” de conseil, se sentent menacés par la grande distribution malgré des engagements renouvelés par la ministre de la santé Roselyne Bachelot.
Au cœur des inquiétudes, l’annonce faite par le gouvernement de la mise en libre service de quelque 200 médicaments ce printemps (antalgiques, antitussifs, médicaments ORL, sevrages tabagiques…).
Sur la défensive, l’ordre national des pharmaciens essaie d’éviter le débat, sur le thème : « Il ne faut pas confondre médicament et marchandise, pharmacien et chef de rayon, pharmacie et magasin ».
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